Vocabulaire thématique : 5d. poissons et crustacés - 2
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Lo guarracino Ignoti (inconnu) 1768 (Texte publié par Guglielmo Cottrau, Passatempi musicali, 1829) Lo guarracino che jeva pe’ mmare Le guarracino qui allait dans la mer  lle venne voglia de se nzorare         eut envie de se marier. Se facette no bello vestito         Il se fit un beau vêtement de scarde de spine pulito pulito        d’écailles et d’arêtes, bien propre, co na perrucca tutta ngrifata avec une perruque toute farcie de ziarel1e mbraciolata        de petits rubans bien enroulés, Co lo sciabo’ scolla e puzine avec un jabot, un foulard et des poignets de ponte angrese fine fine.        de point anglais très fin. (Cu li cazune de rezza de funno         Il avait des pantalons au fond de résille scarpe e casette de pelle de tunno, des souliers et des chaussettes de peau de thon e sciammeria e sciammerino une redingote grande comme ça d’aleche e pile de voje marino,        d’algues et de poils de veau marin cu buttune e buttunera                avec des boutons et des boutonnières d’uocchie de purpo secce e fera, d’yeux de poulpes, de seiches et de corégones , fibbia, spada e schiocche ndorate une boucle, une épée et des mèche dorées de niro de secce e fele d’achiata. ) de noir de seiche et fiel d’oblate. Ddoie belle cateniglie                 Deux belles petites chaînes de premmone de conchiglie, de corail de coquilles, no cappiello aggallonato         un chapeau avec des galons de codarino d’aluzzo salato         de queue de brochet de mer tutto posema e steratiello,         tout amidonné et repassé. jeva facenno lo sbafantiello. Il faisait le vaniteux gerava da ccà e da llà         et tournait par ci et par là la nnammorata pe’ se trovà. pour se trouver une fiancée. La Sardella a lo barconè.        La Sardine à son balcon steva sonanno lo calascione ;        était en train de jouer du calascione e a suone de trommetta        et avec une voix de trompette, jeva cantanno st’arietta :        elle chantait ce petit air : « E lIare’ lo mare e lena        « Ellarè ou marelena e la figlia d’ ‘a si’ Lena                la fille de la mère Lena ha lassato lo nnammorato        a quitté son amoureux pecchè niente l’è rialato ».        parce qu’il ne lui rien donné ». Lo Guarracino ‘nche la guaroaje         Le guarracino qui la regarda de la Sardella s’ annammoraje;         tomba amoureux de la Sardine, se ne jette da na Vavosa         il s’en alla chez une Baveuse, la cchiù vecchia maleziosa;         la plus vieille et la plus malicieuse l’ebbe bona rialata         il lui donna un beau pourboire pe’ mmannarle la mmasciata:         pour qu’elle lui envoie un message : la Vavosa pisse pisse         la Baveuse, aussitôt, chiatto e tunno nce lo disse. le lui transmit clair et net. La Sardella ‘nch’ ‘a sentette         La Sardine quand elle l’entendit rossa rossa se facette,                devint toute rouge, pe’ lo scuomo che se pigliaje         pour la honte qui la saisit sotto a no scuoglio se m’pizzaje;         elle se réfugia sous un rocher ; ma la vecchia de la Vavosa         mais la vieille Baveuse subeto disse: « Ah schefenzosa ! lui dit aussitôt : « Ah ! chichiteuse De sta manera nun truove partito ce n’est pas comme ça que tu trouveras un parti ncanna te resta lo marito.         le mari te restera en travers de la gorge ! Se aje voglia de t’allocà         Si tu as envie de te caser tanta smorfie non aje da fà ;         tu ne dois pas faire tant de grimaces ; fora le zeze  fora lo scuorno, montre toutes tes grâces et au diable la honte ! anema e core faccia de cuorno », allez, du courage, et du culot ! » Ciò sentenno la sì Sardella         La dame Sardine, entendant cela s’affacciaje a la fenestella,         se mit à sa fenêtre fene n’uocchio a zennariello et fit les yeux doux a lo speruto nnamoratiello.         à l’amoureux alléché. Ma la patella che steva de posta         Mais la Patelle qui faisait le guet la chiammaje faccia tosta,         l’appela culottée tradetora, sbrevognata,         traîtresse, dévergondée, senza parola, male nata,         sans parole, mal née ch’avea nchiantato l’Alletterato         parce qu’elle avait planté l’Alletterato primmo e antico nnammorato,         son premier et ancien amoureux, de carrera da chisto jette         et rapidement elle alla chez celui-ci e ogne cosa lle dicette.         et lui raconta tout. Quanno lo ntise lo poveriello,         Quand le pauvret l’entendit, se lo pigliaje Farfariello;         il fut saisi par le diable Farfarel ; jette a la casa, s’armaje a rasulo         il alla chez lui et s’arma d’un rasoir, se carrecaje comm’ ‘a no mulo         il se chargea comme une mule de scoppette e de spingarde, de fusils et d’espingoles, povere, palle, stoppe e scarde,         de poudre, de balles, d’étoupe et de pierres à feu. quattro pistole e tre bajonette         Quatre arquebuses et trois baïonnettes dint »a la sacca se mettette.  il mit dans sa poche. ‘Ncopp’ ‘a li spalle sittanta pistune, Sur son dos, soixante-dix couleuvrines ottanta bomme e novanta cannune ; quatre-vingt bombes et quatre-vingt-dix canons e comm’ ‘a guappo Pallarino         et comme une gouape paladine jeva trovanno lo Guarracino,  il alla chercher le Guarracino, la disgrazia a chisto portaje         le malheur voulut che mmiez’ ‘a la chiazza te lo ncontraje  qu’il le rencontre au milieu de la place. se l’afferra po’ crovattino          Il l’attrape par la cravate e po’ lle dice: « Ah malandrino !          et il lui dit : « Ah ! malandrin Tu mme lieve la nnamorata         Tu me voles ma fiancée. e pigliatella sta mazziata »,         Prends-toi cette bâtonnade ». tuffete e taffete a miliune         Pif et paf par millions lle deva paccare e secazzune.  il lui donnait des claques et des coups de poing, schiaffe, ponie e perepesse,  encore des claques, des coups de poing et des baffes scoppolune, fecozze e conesse,         des taloches, des coups de poing encore des coups scerevecchiune e sicutennosse         des calottes et des coups de poing sur la figure e l’ammacca osse e pilosse. et il lui brise les os et les cartilages. Venimmoncenne ch’ ‘a lo rommore  Et voilà qu’au bruit qu’ils font pari ente e amice ascettera fore         parents et amis sortirent de chez eux, chi co’ mazze, cortielle e cortelle         qui avec des massues et des tas de couteaux chi co’ spate, spatune e spatelle, qui avec des épées, grandes et petites. chiste co’ barre, chille co spite         Les uns avec des barres, d’autres avec des épieux, chi co’ ammennole e chi co’ antrite, qui avec des amandes, qui avec des noisettes, chi co’ tenaglie e chi co’ martielle, qui avec des tenailles , qui avec des marteaux, chi co’ torrone e sosamielle. qui avec des nougats, qui avec des gâteaux. Patr, figlie, marite e mogliere         Pères, filles, maris et femmes s’azzuffajeno comm’ ‘a fere.         se crêpèrent le chignon comme des bêtes, A meliune correvano a strisce         il accouraient par milliers, par bandes, de sto partito e de chillo li pisce.         poissons de tel ou tel parti. Che bediste de sarde e d’alose!         Combien on en a vu des sardines et des aloses, De palaje e raje petrose!         des soles et des raies bouclées, Sàrache, dientece ed achiate. des sargues, des dentés et des oblates, scurme, tunne e alletterate!         des maquereaux, des thons et des thonines. (Pisce palume e piscatrice,         Des émissoles et des lottes scuorfene, cernie e alice,         des rascasses rouges, des mérous, des anchois mucchie, ricciòle, musdee e mazzune, des pastenagues, roussettes, loches, gobies, stelle, aluzze e stroriune,         des palomines, brochets de mer et esturgeons, merluzze, ruùongole e murene,         des merlans, des congres et des murènes, capodoglie, orche e vallene,         des cachalots, des orques et des baleines, capitune aùglie e arenghe, ciefere,  anguilles, belones et harengs, mulets, cuocce, tràccene e tenghe.)         vives, araignées et tanches. Treglie, trèmmole, trotte e tunne,  Des trilles, des torpilles ; des  truites et des thons, fiche, cepoIIe, laùne e retunne,         des coryphènes, cépoles, prêtres et picarels, purpe secce e calamare,         poulpes, seiches et calamars, pisce spate e stelle de mare, espadons et étoiles de mer, pisce palumme e pìsce martieIIe, émissoles et saupes, voccadoro e cecenieIle,         maigres et jeunes anchois, capochiuve e guarracine,         petites seiches et jeunes castagnoles, cannolicchie, òstreche e ancine.         mollusques, huîtres et oursins, Vòngole, còcciole e pateIIe,         Moules, coquillages et patelles, pisce cane e grancetieIle,         requins et petits crabes, (marvizze, màrmure e vavose,         vielles communes, dorades et baveuses, vope prene, vedove e spose,) bogues, veuves et épouses, spinole, spuònole, sierpe e sarpe, loups de mer, huitres épineuses, serpents et saupes , scàuze, ‘nzuòccole e co’ le scarpe, comme ils étaient, en sabots ou en souliers, sconcigIie, gàmmere e ragoste,         murex épineux, homards et langoustes vennero nfino co’ le poste.         vinrent même en diligence ! (Capitune, sàure e anguille,         Anguilles femelles, maquereaux et anguilles, pisce gruosse e piccériIIe,         gros poissons et petits poissons, d’ogne ceto e nazione,                de toute classe et de toute nation, tantiIIe, tante, cchiù tante etantone! en petit ou en grand nombre, et encore plus que ça. Quanta botte, mamma mia!         Que de coups, mon Dieu ! che se dèvano arrassosia!         qu’ils se donnaient à l’aveuglette ! A centenare le barrate!                 Par centaines les coups de barres ! A meliune le petrate ! )          Par milliers les coups de pierres ! Muorze e pizzeche e bellune !          Morsures et pincements par milliards ! a delluvio le secuzzune !          un déluge de coups de poing ! non ve dico che bivo fuoco          Je ne vous dis pas quel feu vif se faceva per ogne luoco !          on faisait en tous lieux ! Te, tte, tte, ccà pistulate!          Te, te, te, ici des coups de pistolets ! Ttà, ttà, ttà, llàà scoppettate !        Ta, ta, ta, là des coups d’escopettes ! ttù, ttù, ttù, ccà  il pistunel !         Tu, tu, tu, ici des coups de couleuvrines ! Bù, bù, bù, llà li cannune.          Bu, bu, bu, là les canons ! Ma de cantà sò già stracquato          Mais de chanter je suis déjà fatigué e me manca lo sciato;                  et le souffle me manque ; sicchè dateme licienza,          et donc donnez-moi congé, graziosa e belia audienza,          gracieux et beau public, nfi che sorchio na meza de seje,          car je veux boire quelque verre de vin, co’ salute de luje e de leje,          à la santé de lui et d’elle ca se secca lo cannarone          sinon je me dessèche le gosier sbacantànnosse lo premmone.          et je me vide les poumons. (Traduction française et notes de Jean Guichard, pour le livret du disque de Neapolis). Dans l’ouvrage cité en note ci-dessus, De Simone a montré, par l’analyse de toutes les versions qu’il a recueillies ou lues, que Lo guarracino était à l’origine une chanson rituelle d’origine « populaire », utilisée pour accompagner la danse traditionnelle et qui alimentait le répertoire des « cantastorie » et des « posteggiatori » (musiciens ambulants de Naples), dans une fonction narrative ; la liste et la nature des poissons cités suggèrent peut-être que l’origine est à chercher parmi les pêcheurs de Mergellina et de Posillipo. Par la suite, le chant populaire est repris par la tradition « popolaresca » (mi-savante, mi- populaire), sous la forme d’une tarentelle classique, telle qu’elle figure dans la version de Cottrau. De Simone insiste par ailleurs sur le caractère magique de la chanson : le guarracino est un poisson que l’on ne mange pas, tant sa chair est fade et remplie d’arêtes, on l’utilise tout au plus pour donner du goût à la soupe de poisson. Pourquoi donc l’avoir choisi comme thème d’une chanson si importante ? Pour des raisons de référence magique, et il se réfère à son autre nom de « dragon de mer » qui lui est donné par Basile dans la nouvelle 9 de la première journée de Lo cunto de li cunti, où il a un pouvoir magique de fécondation ; et les sorcières l’utilisaient pour leurs opérations rituelles : le guarracino était donc probablement une représentation de divinité marine qui pouvait protéger du mal, en particulier lors du premier accouplement de jeunes mariés (cf. p. 42). La sardine a aussi un sens magique : elle était très prolifique, et on pensait qu’elle mangeait les morts. Dans la tradition de Somma Vesuviana, on rapprochait parfois le guarracino de Masaniello, le pêcheur leader de la révolution de 1647, dont la femme était dite ironiquement « la duchesse des sardines » (Jean Guichard, Histoire de la chanson en Italie, Vol. II -La chanson de Naples et de sa région, p. 13) Discographie sommaire : 1. - Roberto Murolo, Antologia cronologica della canzone napoletana, vol. 1, 1963. 2. - NCCP, « Lo guarracino », Orizzonte, 1972. 3. - Neapolis ensemble, Lo guarracino, Eloquentia, 2012. O’ GUARRACINO CANZONE-TARANTELLA Tutti i nomi della fauna marina nella Canzone Tous les noms de la faune marine dans la chanson A cura di GIULIO SANTILLO giuliofl@hotmail.com NAPULITANE                        Lo guarracino, la monacella Il tunno     L’aleca         Il voje marino Il purpo   La seccia   La fera (lago di Ginevra)   L’achiata     La conchiglia, la cappasanta L’aluzzo   La sardella La vavosa L’alosa La patella   L’alletterato     La sarda La palaja La raja petrosa   Il saraco   Il dèntice Lo scurmo   Il pesce palummo La pescatrice Lo scuòrfeno La cernia L’alice   La mucchia   La ricciola La voccadoro Il mazzone   Lo sturione Il merluzzo   Il ruòncolo La murena Il capodoglio   L’orca La vallena   Il capitone L’auglia L’arenga   Il cèfaro Il cuoccio   La tracena   La tenca, la sguette   La treglia   La trotta La tremmula   La fica La cepolla Il làuno,  il lavone   Il retunno   Il calamro   Il pesce spata   La stella di mare   La sarpa   Il cecenielli   Il capochiuovo   Il cannolicchio   L’ostreca   L’ancina   La vòngola   La còcciola   Il pescecane   Il rancio   Il marvizzo   La mìrmora   La vopa   La spìnola   Lo spuonelo   Il sierpo     Lo sconciglio   Il gàmmaro   La ragosta   Il sàuro   L’anguilla   La castagnola = lo guarracino
Le « guarracino » est le poisson appelé la « castagnole »,  petit poisson noir de la Méditerranée (Chromis chromis).  La Grande castagnole est aussi appelée « Hirondelle de  mer ». Mais nous n’avons pas traduit : il fallait garder le  masculin du texte napolitain. 
Le corégone blanc (coregonus albula, autrefois, coregonus fera) est un poisson d’eau douce, connu, selon les régions, sous les noms de « marène », « lavaret », « fera », etc. Parfois aussi « dauphin ».
    Instrument de musique napolitain, petit luth avec un très long manche ; espèce de mandoline à 2 ou 3 cordes qui se jouait avec une plume.
    la « baveuse » ou « blennie », poisson de toutes les eaux tempérées.
   « L’alletterato » est la « thonine ». Là encore, nous laissons le nom napolitain, question de genre.
    Farfariello est un des diables inventés par Dante dans la Divine Comédie (Enfer, XXI, 123), repris par Leopardi dans les Operette morali.
Voir aussi l’ouvrage de Roberto De Simone, La Tarantella napoletana ne le due anime del  Guarracino, Edizioni di Gabriele e Mariateresa Benincasa, Roma, 1992, con appendice  iconografica (pour le centenaire de Il Mattino, fondé en 1892 par Eduardo Scarfoglio et Matilde  Serao). Voir aussi la traduction différente de Maria Laura Bardinet Broso, sur le livret de La Bella  Noeva, de Marco Beasly, Guido Morini, L’Accordone, Les chants de la Terre, 2003, un beau  disque qui mêle chants classiques et populaires. 
ITALIANO                              La castagnola        Il tonno rosso    La lattuga di mare, l’Alga marina  La foca monaca                Il polipo La seppia Il coregone bianco L’occhiata    Il canestrello, il pettine   Il luccio marino     La sardina       La bavosa ruggine L’alosa La patella    L’alletterato         La papalina    La sògliola        La razza chiodata     Il sarago fasciato       Il dèntice         Lo sgombro         Il palombo          La rana pescatrice   Lo scòrfano rosso   La cernia bianca           L’acciuga         La pastinara           La seriola, la leccia stella   La bocca d’oro         Il ghiozzo rasposo   Lo storione        Il merluzzo     Il grongo           La murena         Il capodoglio           L’orca         La balena          L’anguilla grande         L’aguglia                  L’alaccia        Il cèfalo         Il capone lira   La tracina drago          La cernia dorata           La triglia          La trota di mare          La torpédine occhiuta          La musdea bianca   La cepola          Il latterino        Lo zerro         IIl calamaro          IIl pesce spada        La stella di mare          La salpa   Il gianchetti          La seppiola, la seppietta          La cappa lunga         L’ostricca         Il riccio di mare         La vòngola           Il cuore édule   Il pescane          Il granchio         Il tordo marvizzo         La màrmora        La boga   La spìgola          Lo spondilo         Il serpente di mare La mùrice       Il gàmbero           L’aragosta          Il suro          L’anguilla          
FRANÇAIS La castagnole Le thon rouge La laitue de mer, l’ulve Le phoque moine Le poulpe La seiche Le corégone banc, la féra L’oblade Le pétoncle, la coquille Saint-Jacques Le brochet de mer La sardine La blennie La grande alose La patelle La thonine Le sprat La sole La raie bouclée Le sac à tête noire Le denté Le  maquereau L’émissole lisse La baudroie commune La rascasse rouge Le mérou blanc L’anchois La pastenague La sériole, la palomine Le maigre Le gobie L’esturgeon Le lieu jaune Le congre La murène Le cachalot L’orque La baleine La grande anguille L’orphie L’allache Le mulet cabot Le grondin lyre La grande vive Le mérou badèche Le rouget La truite de mer La torpille ocelée La phycis, la fiatole La cépole commune Le prêtre Le picarel L’encornet, le calamar L’espadon L’étoile de mer La saupe Le capelan La sépiole Le couteau L’huître L’oursin La palourde La coque, la bucarde Le requin Le crabe La vieille commune Le marbré La bogue Le bar Le spondyle Le sepenton à nez long Le murex La crevette La langouste Le chinchard L’anguille
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