Histoire de l’Italie : la Renaissance - Catherine de Médicis
Un grand roi de France qui s'appelait : Catherine de Médicis
Un des liens entre Florence et la France c'est Catherine de Médicis, née à Florence le 13 avril 1519, venue se marier en France le 27 octobre
1533 à l'age de 14 ans. Régente de France le 10 juillet 1559, à la mort d'Henri II, veuve éternelle à 40 ans, elle ne vivra jusqu'à sa mort que
pour ses fils, les trois derniers rois Valois : François, Charles, Henri.
A Florence on voit des lys partout. Depuis le XI° siècle, ils sont l'emblème de la ville : lys rouge sur fond argent, boutons entre les fleurons.
Rien à voir avec le lys de France, emblème de la royauté depuis 1137 : lys or sur fond azur.
Ce n'est donc pas à cause de (ou grâce à) Catherine que la France et Florence ont le même emblème, mais au Moyen-Âge lors de la
constitution des cités, il était de bon ton de prendre pour symbole soit un animal glorieux : lion, aigle (à une ou plusieurs têtes. Voir notre
chapitre de vocabulaire sur « Les animaux totémiques ») ou une belle fleur : rose, lys, voire la croix du Christ.
Catherine naît le 13 avril 1519 au Palais Riccardi. Elle est la dernière descendante directe et légitime de Laurent II le Magnifique (1492-1519),
petit-fils de Laurent le Magnifique. Sa mère, Madeleine de la Tour d’Auvergne (1495-1519), cousine de François 1er, meurt le 28 avril de fièvre puerpérale et son
père le 4 mai. Elle est une héroïne de tragédie, orpheline dès sa naissance !
Florence est une république comme Venise. Mais c’est alors une dictature qui ne veut pas se l'avouer ; le pouvoir est aux mains des riches, l'énorme masse
d'argent du commerce passait par la banque de Médicis. Les Médicis sont des marchands.
À côté de Paris ou Venise qui sont des villes de même importance à l'époque, Florence est une ville ni gaie, ni facile à vivre. Elle est austère, cela se voit dans les
façades encore de nos jours.
Florence est la première ville lainière d'Italie, elle se bat pour être la seule à posséder l'alun (sulfate d'aluminium) qui fixe les couleurs sur les tissus. Les lainiers
sont les clients des Médicis. Les Médicis font disparaître ou soumettent les grandes familles pour rester seuls à exercer le pouvoir suprême. Catherine se
souviendra toute sa vie de cet art de manœuvrer les factions, si typiquement Médicis.
Le premier Médicis à s'unir à la couronne de France est Julien, troisième fils du Magnifique (1479-1516). Il épouse la tante de François 1er (la soeur de sa mère),
Philiberte de Savoie (1498-1524), Duchesse de Nemours, et devient de ce fait Duc de Nemours. Son fils bâtard Hippolyte est le cousin germain de Catherine, elle
adore son cousin, mais on ne lui demande pas son avis. Son destin est ailleurs.
Les Médicis avaient de larges tares physiologiques : tuberculose et syphilis se développaient de façon foudroyante chez eux. Ils avaient des scrofules (abcès
tuberculeux dans les ganglions du cou). Tous les enfants de Catherine hériteront de ces lourdes tares, sauf la splendide reine Margot qui avait une santé à toute
épreuve.
Catherine, orpheline courtisée dès l'age de 5 mois pour son héritage, est prise en charge par son oncle le pape Léon X qui la fait venir à Rome pour la soustraire à
la haine ambiante. C'est lui qui la mariera au second fils de François 1°, Henri de Valois, futur Henri II.
Son arrivée à la Cour de France le 27 octobre 1533 est l'occasion de fêtes splendides données par son beau-
père le roi François 1er. Elle n'est pas jolie la petite Catherine, elle est brune (la mode est aux blondes)
courtaude, maigre, elle a les yeux globuleux et des grosses lèvres : un vrai laideron. Elle n'est pas jolie, elle le
sait, mais elle est très intelligente, instruite et dissimulatrice. Ce sera sa force, face à l'orgueilleuse Diane de
Poitiers, sa grande rivale dans le coeur du roi, bien qu’âgée de 20 ans de plus que lui (Cf. ci-contre Diane et
Henri II).
Catherine n'impose rien à la Cour, elle n'a pas les moyens de le faire : elle n'a que 14 ans. En revanche la
Cour déjà gagnée à l'influence italienne accueille à bras ouverts les cuisiniers qui débarquent à sa suite,
cahiers de recettes sous le bras. Chaque noble digne de ce nom se devra d'avoir un cuisinier italien. Cela va
bouleverser les habitudes françaises dans beaucoup de domaines :
Catherine monte très bien à cheval et pour accompagner le roi à la chasse, elle adopte la monte en amazone. Pour passer la
jambe par dessus l'arçon elle doit la lever très haut. Pour ne pas montrer à tous son petit trésor, elle va donc être la première à
mettre... une culotte que l'on appelait caleçon au XVI° siècle. Scandale : le port de la culotte était un privilège réservé aux
hommes, les femmes sous leurs nombreuses jupes ne portaient rien. Catherine gagnera la partie.
un de ses maîtres d'hôtel - Bartolomeo Sacchi, dit Platina (1421-1481) - publie pour la première fois en France un manuel de savoir-
vivre (De honesta voluptate et valetudine = Du plaisir honorable et de la santé - 1465) dans lequel il recommande entre autres :
- de se laver les mains avant de passer à table,
- de ne pas se moucher dans la nappe,
- d'utiliser la fourchette, plus propre que les doigts et donc, de ne plus s'essuyer à ladite nappe. La
fourchette ressemblait trop aux fourches du diable, elle était offensante. 40 ans plus tard Henri III en
imposera l'usage pour ne pas salir les « fraises » très à la mode. Il n'empêche que Louis XIV
l'utilisera encore avec parcimonie cent ans plus tard.
- L’usage de la fourchette était préconisé par Érasme dans son Traité de civilité puérile (1530) en
même temps que celui de la serviette savamment pliée. La fourchette serait arrivée à Venise au XIe
siècle depuis Byzance mais ne parvient en France qu’à la fin du XIVe siècle sous Charles V, et ne
sera adoptée à la Cour qu’en 1574 sous Henri III, fils de Catherine de Médicis ; sa forme passera de
2 à 3 puis à 4 dents. Son nom français vient aussi de l’italien « forchetta » (petite fourche). Ce n’est
donc qu’une légende qui attribue son arrivée à Catherine de Médicis, du fait de ses origines
italiennes, et Catherine ne semble pas en avoir été une grande adepte.
Les Italiens sont effarés par la grossièreté des manières de table françaises. La « Renaissance » c'est aussi bien se tenir à table, les
Français ne savent pas faire, les Italiens vont leur apprendre !
Les cuisiniers Italiens font des menus. Cela aussi c'est une révolution par rapport aux habitudes du Moyen- Âge où tout se mangeait en même temps. Dans les
menus Italiens, salé et sucré sont séparés et les plats arrivent dans un ordre bien défini. Ce raffinement sera porté au niveau d'un art par Louis XIV qui fait de ses
repas de vrais spectacles, mais la grande cuisine française est née là, au XVI° siècle.
Quelles nouveautés les Italiens ont-ils apportées ?
Les artichauts. Catherine en raffolait. Bien sûr les Romains connaissaient déjà l'artichaut, ce gros chardon bleu dont on ne laisse pas s'épanouir le bouton
puisqu'on le mange ! À l'époque on disait le « cul d'artichaut », pas le coeur ! Le premier producteur reste l’Italie.
Les épinards. Encore un légume que Catherine aimait beaucoup ; il avait été introduit en Andalousie par les Arabes vers l’an mil, et apporté en France par
les Croisés, mais c’est Catherine qui le rend populaire comme « herbe de carême ». Dans les restaurants les préparations dites « à la florentine » sont à
base d'épinards dans une sauce Mornay, même si l'invention de la sauce Mornay date du XIX° siècle.
Les haricots. Ramenés du Pérou, où ils étaient connus depuis 7000 ans, par Christophe Colomb en 1492 et par les Espagnols, ils ne se mangeaient qu'à
maturité c’est-à-dire en grains secs (les « fayots » (les « fagioli » italiens) : le nom de « haricot » n’apparaît qu’au XVIIe siècle). Catherine de Médicis
l’introduit en France lors de son mariage. C'est là qu'est né le Cassoulet. L'habitude de les consommer verts est plus tardive : fin du XVII° siècle.
La Béchamel. Les Italiens l'appelaient la salsa colla. Introduite en France par Catherine, elle sera perfectionnée sous la forme que nous connaissons par
Louis de Bechameil (1630-1703), maître d’hôtel de Louis XIV.
La pâte à choux. Jusqu’au XVIIIe siècle, on dit « pâte à chaud » puisqu'il faut avant tout la dessécher à la chaleur. C'est l'oeuvre des pâtissiers de
Catherine, Popelini, puis Penterelli.
La Frangipane. Cette crème à base d'amandes (deux tiers de crème d’amandes et un tiers de crème pâtissière) aurait été créée par le marquis Pompeo
Frangipani pour parfumer les gants de Louis XIII et cacher l'odeur du cuir. Boccaccio prétendit que Dante serait un descendant de cette famille. Une autre
version dit que c'est le comte Cesare Frangipani qui l'aurait offerte à Catherine pour son mariage. Chez les franciscains, on dit que c’est le gâteau que «
Frère » Jacqueline de Septisoles, veuve de Graziano Frangipani, apportait à François d’Assise. Il y a un Frangipani de trop, mais la délicieuse frangipane
continue de nous régaler dans la galette des rois.
Les glaces. Gelati ! Les italiens se sont surpassés ! Catherine de Medicis aimait les sorbets de fruits. Francesco Procopio (1651-1727), sicilien mort à Paris,
eut l'idée d'y ajouter des oeufs et de la crème qu'il vendait dans sa boutique parisienne, le café Procope, le plus ancien café de Paris. Le roi Louis XIV lui
accorde l’exclusivité de la commercialisation. Puis un Napolitain -François Xavier Tortoni(1767-1818) - y ajouta aussi des fruits confits : la tranche
Napolitaine était née. Le café Tortoni fut un des plus célèbres de Paris : repris par son fils, il est cité par tous les écrivains romantiques, Stendhal, Balzac,
Musset, Alexandre Dumas, Victor Hugo, Marcel Proust …
Les confitures. Jusqu'au Moyen-Âge, on sucrait au miel. La canne à sucre arrivée en grande quantité des Antilles permet la conservation des fruits dont la
Renaissance raffolait. On les consommait frais, en compote, confiture ou confiture sèche ; cette catégorie regroupait les pâtes de fruits, les fruits confits et
les bonbons de Giovanni Pastilla qui inventa les pastilles. Nostradamus et Ruggieri que Catherine recevait à sa Cour publiaient aussi des livres de recettes
qu'ils liaient à des indications médicales et des conseils cosmétiques aux fruits. Cet engouement pour les confitures durera longtemps : le roi Louis XIII faisait
lui-même ses confitures, pour passer le temps !
Festin : le mot lui-même ne vient-il pas de l'italien festino (petite fête) ?
A la mort de François 1er, c'est son fils aîné, Henri qui lui succède sous le nom d'Henri II. Henri est l'un des deux enfants qui avaient été remis comme rançon
pour la libération de François 1er suite à la désastreuse défaite de Pavie. Au moment de leur départ pour leur sinistre prison espagnole, Henri qui avait 7 ans, avait
été remarqué et consolé par une dame de la suite qui lui avait donné un baiser. Cette dame s'appelait la grande Sénéchale de Brézé, plus connue sous le nom de
Diane de Poitiers, le seul grand amour d'Henri.
Catherine devenue reine de France va devoir composer avec cette orgueilleuse rivale qui va tenir le roi en soumission pendant 20 ans et considérer Catherine
comme quantité négligeable.
Comment Catherine a-t-elle fait pour supporter l'insupportable ? Pour accepter de passer au second plan même le jour du sacre du roi à Reims ? Pour accepter
que ses enfants lui soient enlevés dès leur naissance pour qu'ils soient confiés à Diane sur ordre du roi ? Catherine voyait si peu ses enfants qu'elle chargea le
peintre François Clouet de faire des dizaines d'esquisses pour suivre leur évolution sur papier.
C'est une histoire d'amour et de haine. Elle aimait sincèrement le roi qui ne le lui rendait pas. Mais elle avait une véritable vénération pour lui car il était de sang
royal, elle qui n'était qu'une Médicis ! Au XIV° siècle, ses ancêtres, s'enrichirent dans le métier d'apothicaire (d'où les sept pilules du blason) puis dans la banque.
Elle souffrit toute sa vie de n'avoir obtenu la dignité royale que par mariage et non par naissance. Aujourd'hui, on dirait qu'elle avait un complexes d'infériorité.
C'est pour cette raison qu'elle mettait mari et enfants très au-dessus d'elle-même, car ils lui étaient supérieurs : elle se devait de défendre le sang sacré des Valois,
ce qu'elle fit jusqu'à son dernier souffle.
Sa haine pour Diane de Poitiers qu'elle n'a jamais appelée autrement que « la putain ou la mère Poitiers » était aussi forte que sa vénération pour les Valois,
mais en bonne Florentine, elle savait dissimuler, attendre et sourire malgré tout. Elle attendait son heure qui viendra brutalement le jour de la mort d'Henri II le 9
juillet 1559. (Rappelons qu'Henri II est mort lors d'une joute chevaleresque d'un coup de lance brisée dans son oeil).
Catherine en ressentit une immense douleur, prit un deuil éternel dans ses voiles noirs. C'est cette image qui demeure d'elle et qui a contribué à noircir un peu plus
sa réputation.
Le roi n'est pas encore enterré qu'elle interdit à Diane de Poitiers de paraître à la Cour. Elle exige le retour dans le domaine royal du splendide château de
Chenonceau, et des joyaux de la couronne, tous ces biens que « la mère Poitiers » détenait indûment. Sa vengeance n'ira pas plus loin. Entre les mains d'une
florentine nourrie de Machiavel, la clémence est aussi une arme. Le calcul de Catherine fut bon, Diane vécut oubliée dans l'obscurité du château d'Anet jusqu'à sa
mort 7 ans plus tard.
Débarrassée d'une rivale qu'elle a supportée pendant 20 ans, Catherine peut se consacrer entièrement à la Régence dont elle a la charge.
Son fils aîné François II a 15 ans. Il est chétif, de mauvaise santé, ne peut respirer que la bouche ouverte et les humeurs du nez
s'écoulent par un abcès dans l'oreille. Avec cela, irritable, sujet à pertes d'équilibre mental. L'inquiétante hérédité des Médicis a pesé lourd
sur les derniers descendants des Valois : ils étaient tarés. Ce roi de pacotille n'a d'autre volonté que celle de sa mère, il meurt de
tuberculose à 16 ans, n'ayant régné qu'un an.
Son second fils Charles IX était déséquilibré mentalement, cruel et coléreux. À la chasse il éventrait et égorgeait de sa
main les animaux et plongeait les bras dans leurs entrailles sanglantes. Pour dominer ses crises il martelait l'enclume
jusqu'à épuisement, ou coupait un âne en deux d'un seul coup de hache ! Bref lui aussi avait hérité de la lourde
hérédité des Médicis. C'est sous son règne que la France va entrer dans l'une des périodes les plus terribles de son
histoire : la guerre civile entre Catholiques et Huguenots. Les bras armés de cette guerre de religion étaient les Guise et
les Bourbon avec l'amiral de Coligny en chef de guerre. Le summum de l'horreur sera atteint dans la nuit du 23 août
1572 (la Saint Barthélemy) sous le regard haineux du roi hurlant « tuez les tous, qu'il n'en reste aucun pour me le
reprocher ».
Lui aussi meurt de tuberculose en transpirant le sang par tous les pores de sa peau.
Le dernier fils Valois qui règnera, - le préféré de Catherine : Henri III - fut un gaspilleur du trésor royal
tant pour payer à ses « mignons » des fêtes fastueuses d'or et de soie, que pour jouer au pénitent repenti dans des sacs
de toile. Il meurt poignardé par un moine ligueur : Jacques Clément.
Aucun des trois n'aura de descendance et c'est tant mieux !
Pourtant, Catherine a tenté d’apaiser les tensions violentes entre catholiques et huguenots. Les anciens féodaux prenaient
comme prétexte la religion pour essayer de se hisser sur le trône de France. Elle maîtrisait comme personne l'art de la
négociation, de la persuasion et de la concession, c'était une fine manœuvrière. La réputation très noire que l'histoire lui a
faite est surtout due à ses ennemis politiques : Condé, les Guise, les Huguenots, le roi d'Espagne, Elisabeth d’Angleterre....
Catherine voulait la paix. La politique de toute sa vie fut le maintien de la couronne pour ses chers fils, la paix, l'unité
nationale et la tolérance entre les deux partis. Son obsession pour y parvenir : les mariages de ses enfants :
Sa fille aînée Elisabeth est mariée au roi d' Espagne Philippe II qui n'aura de cesse de provoquer sa belle-mère dans
sa lutte contre le calvinisme. À la mort d'Elisabeth, Catherine essaiera de caser sa seconde fille Marguerite (la belle Margot) à
Philippe qui refusera tout net pour épouser sa nièce Anne d'Autriche.
François II est marié à 14 ans, à Marie Stuart, reine d'Ecosse et nièce des Guise par sa mère. Veuve à 16 ans, elle repartira dans
sa patrie subir son triste destin.
Charles IX épouse l'archiduchesse Élisabeth d'Autriche, nièce de Charles Quint, soeur d'Anne, reine d'Espagne.
Henri III épouse Louise de Lorraine (Guise), à qui il préfère ses « mignons ».
La splendide Margot follement amoureuse du duc de Guise, est offerte à Henri roi de Navarre, futur Henri IV, dans le but d'apaiser
les luttes entre Catholiques et Calvinistes. Il en résultera le massacre de la St Barthélemy, 5 jours après les noces ! (Cf. son
portrait à droite, par Clouet)
Enfin dernier mariage souhaité par Catherine, mais qui ne se fit pas, celui de son dernier fils François d'Alençon, nabot jaloux de
16 ans, repoussant et disgracieux, à la reine Elisabeth 1° d'Angleterre - 40 ans - dans le but de donner un héritier à la couronne
d'Angleterre !
Tous ces mariages consanguins conduiront à l'extinction de la dynastie des Valois, (comme l'avait prévu
Nostradamus … ?).
Catherine de Médicis meurt elle aussi de tuberculose, le 5 janvier 1589 à l'âge de 70 ans après avoir été une grande régente pendant
30 ans. Aucun de ses fils n'ayant l'étoffe d'un roi de France, ils laissèrent leur mère gouverner à leur place, elle fit de son mieux, ce
qui ne fut pas facile tant elle avait d'ennemis contre elle.
Sept mois après la mort de Catherine, Henri de Navarre devenait roi de France et de Navarre sous le nom d'Henri IV.
Annie Chikhi, 9 mai 2016
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